Hommage à la mémoire de Frédéric

Je t'ai cherché aux quais poissonneux du Vieux Port
Dans le vol des mouettes ramenant les pêcheurs
La foule des badauds qui rit et parle fort
Au Fort Saint Nicolas en battements de coeur

Puis j'ai pris la Corniche pour te chercher partout
Où tes yeux ont frôlé l'émouvante marée
Chaque vague pleurait la mort peut rendre fou
Jusqu'aux embruns salés de Méditerranée

Je veux te rendre hommage comme une Marseillaise
Et par nos mêmes accents que chaque mot te plaise
Pour que coule le sable du souvenir de Toi

L'Anse du Petit Nice où naît chaque seconde
Pour marquer la mémoire d'un autre bout du monde
On ne t'oubliera pas Ô Frédéric crois moi

Paule
13 mars 2020

Merci Paule de ce bel hommage
Cela m'émeut, me touche, me fait  monter les larmes…
Il adorait écrire, il était passionné…

Bonjour MissLulu,

Merci d'être passé lire mon hommage , je l'ai écrit les larmes aux yeux, derrière l'écran virtuel, c'est un coeur qui bat, je l'ai écrit sur tous les forums où je publie depuis mon entrée en écriture, parce que c'est mon intime pensée, Frédéric ne sera jamais oublié où chaque matin il venait partager sa Poésie et généreusement commenter les Poètes , Paix à son âme

Et puis, il y a ceux que l'on croise, que l'on connaît à peine, qui vous disent un mot, une phrase, vous accordent une minute, une demi-heure et changent le cours de votre vie. Victor Hugo

J'ai choisi une participation à un concours, Frédéric aimait les challenges

Avec mon Stradivarius

Je me sens toujours emporté, une nuée d’amour.
Sur mon nuage, je regarde avec sérénité l’infini.
Du sol, voyant avec légèreté, l’imagination pour
Quelques notes, des châteaux d’argent non finis.

Que de beauté et symphonies, c’est vertigineux.
En regardant les nuages, une montagne d’idées.
Puis la pluie, voile est levé, ce drap d’or laineux.
Éclaboussé, l’oiseau azur et flamboyant, ondées,

S’enfuit, poursuit sa recherche d’un abri en plus.
Cumulus s’accumulent, vous n’aurez rien de plus.
Tête dans les nuages, je n’ai vu arriver les stratus.
Je préfère jouer des altos avec mon Stradivarius.

Frédéric

Tendre dimanche MissLulu

Ce poème est magnifique… il adorait les challenges, c'est vrai !