Troisième sexe - Ludwig
Troisième sexe - Ludwig
Troisième sexe
J’aime une amie dans l’âme, une femme est ma mie
Homme haut de trois pommes, comme un nain fait géant
Par ta part séparée, qu’en la mer Égée, en
L'an fui, quand Platon dit, et bien plus qu’à demie,
La nature androgyne à nos temps ceints de jeans,
Nous louons bon aloi. Animée d'us, certaine,
La nymphée est fée source à jaillir en fontaine
De joies aux ris des joues, qui plaisent aux grands djinns
Sa « rivière insolente* » est le sol où revivre.
Mâle ou femelle a dits, d’où le poème est ivre
Et vire et volte en duos, dans des vers tressant course.
Les horions vers Orion, la paix lapée Lactée,
L’halte à haïr Altaïr, d’yeux aux ciels actés,
Nos bleus à l’Âme en nous : bisounours, Petite Ourse.
Ludwig
***
(* Paroles de la chanson « La Maladie d’Amour » de Michel Sardou)
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